• Université : Ecole doctorale 188 (Ecole des chartes-Paris 4)

Résumé

La présente thèse se propose de mettre en valeur le développement d’une archivistique chinoise moderne et de l’usage social des archives depuis le milieu du XXe siècle, à la lumière de l’évolution de l’État et de la société. La thèse comporte cinq chapitres. Le premier est un rappel de l’histoire politique de la Chine et de son impact socioculturel sur les archives et le métier d’archiviste. Le deuxième présente l’évolution de l’archivistique chinoise, afin d’expliquer le contexte dans lequel s'établissent la communication et la valorisation des archives. Le troisième traite des origines et de la formation de la législation archivistique en Chine à l'époque contemporaine : législation archivistique générale et spécifique, se rapportant à la communication. Il s’agit d’une base essentielle dans le domaine de la communication des archives. Le quatrième chapitre présente une étude des politiques de communication des archives en Chine et donne des éléments de comparaison avec la situation en France, allant jusqu’au fonctionnement des salles de lecture – lieux où les archivistes et leurs « clients » se rencontrent et où s’appliquent les textes législatifs et réglementaires. Le dernier chapitre aborde le problème des relations entre les archivistes et le public, qui s’établissent et se développent notamment dans le cadre d'activités culturelles, principaux moyens de valorisation des archives conservées : publications, expositions, sur site et en ligne.

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